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bienvenue sur mon blog lettre d’une mère a sa fille… d’une mère à sa fille… je n’ai jamais entendu tes prières ni regardé les dessins dont tu étais si fière. toute la journée au bureau, à la lessive, au fourneau, tenir la maison était un lourd fardeau. le soir, je te bordais, vite fait, t’embrassais et partais me coucher, fourbue, harassée tu aurais aimé que je reste là, près de toi et que dans tes boucles, je pose mes doigts tu aurais aimé que je te lise une histoire, mais ton beau livre n’est jamais sorti de l’armoire. je n’ai pas su goûter ces instants précieux où nous aurions pu avoir tant de bonheur nous deux. tu as grandi là, à côté de moi, jour après jour, mois après mois. je n’ai vu tous ces changements qu’à la taille de tes vêtements. chaque fois que tu voulais me parler, je disais : »je n’ai pas le temps, demain ! » mais maintenant, tu t’en es allée et mes jours sont devenus vides et sans fin. les années sont passées aujourd’hui, j’ai du temps mais il est trop tard, tu n’est plus là maintenant ta chambre vide attend mes petits enfants et le livre d’histoires est sorti, à présent. pendant mes longues siestes, je ferme les yeux et j’essaie de refaire le chemin en arrière : je t’imagine, jouant, criant, récitant des prières ; je te presse contre moi, remets de l’ordre dans tes cheveux… puis je me réveille, seule dans cette maison devenue désormais une tombe, une prison. tu es partie, sans un mot, sans dire où tu allais je n’entends plus ton rire, ni le bruit de tes pas dans l’allée. si tu savais combien j’ai de peine tu reviendrais pour que je te dise : « je t’aime ». ma fille, toi dont je suis si fière, j’ai honte de n’avoir point su être une mère. source : kriss de niort publié dans : non classé | le 1 novembre, 2006 | 2 commentaires » -- juste une heure s.v.p. un homme arrive chez lui un soir fatigué après une dure journée de travail, pour trouver son petit garçon de 5 ans assis sur les marches du perron. - papa, est-ce que je peux te poser une question? - bien sûr! - combien gagnes-tu de l’heure? - mais, ça ne te regarde pas fiston! - je veux juste savoir. je t’en prie, dis-le moi! - bon, si tu veux absolument savoir : $35.00 de l’heure. - le petit garçon s’en retourne dans la maison avec un air triste. il revient vers son père et lui demande : - papa, pourrais-tu me prêter $10.00? - bon, c’est pour ça que tu voulais savoir. pour m’emprunter de l’argent! va dans ta chambre et couche-toi. j’ai eu une journée éprouvante, je suis fatigué et je n’ai pas le goût de me faire achaler avec des niaiseries semblables. une heure plus tard, le père qui avait eu le temps de décompresser un peu se demande s’il n’avait pas réagit trop fort à la demande de son fils. peut-être qu’il voulait s’acheter quelque chose d’important. il décide donc d’aller dans la chambre du petit : - dors-tu? - non, papa! - écoute, j’ai réfléchi et voici le $10.00 que tu m’as demandé. – oh merci papa! le petit gars fouille sous son oreiller et en sort $25.00. le père en voyant l’argent devient encore tout irrité. - mais pourquoi tu voulais $10.00? tu as déjà $25.00! qu’est-ce que tu veux faire avec cet argent? - c’est que… il m’en manquait. mais maintenant j’en ai juste assez. papa, est-ce que je pourrais t’acheter une heure de ton temps? demain soir, arrive à la maison plus tôt. j’aimerais souper avec toi! p.s. n’attendez pas que vos enfants vous demande un peu de temps donnez leur c’est la seule façon de vous enrichir . publié dans : leçon de vie | le 22 octobre, 2006 | 1 commentaire » -- le cadeau lire la suite » publié dans : leçon de vie | le 15 octobre, 2006 | 1 commentaire » -- accident de moto un gars et une fille était sur une route a 100 à l’heure sur une moto la fille : ralenti j’ai peur! le gars : nan arrête c’est marrant! la fille : nan c’est pas marrant, stp j’ai trop peur !! le gars : bah dis moi que tu m’aime la fille : ok, je t’aime, ralentis ! le gars : maintenant donne moi un grooos câlin .. la fille lui fait un câlin le gars : tu peux enlever mon casque et le mettre? il me gêne.. dans le journal le lendemain, en première page : accident de moto, a cause d’un problème de freins, 2 personne y était mais seule la fille a survécu.. la réalité des choses : a mi chemin sur la route, le gars réalise que s’est freins ne marchait plus, mais il ne voulait pas le dire a sa copine, a la place de ça il lui a fait dire qu’elle l’aimait, et a voulu un câlin pour la dernière fois, ensuite il lui a fait mettre son casque pour qu’elle puisse vivre encore même si cela voulait dire qu’il devait y laisser sa vie pour ça…. protection divine ou amour infinie… publié dans : leçon de vie | le 15 octobre, 2006 | 1 commentaire » -- publié dans : leçon de vie | le 1 octobre, 2006 | pas de commentaires » -- à l’homme le plus merveilleux qui soi lire la suite » publié dans : leçon de vie | le 1 octobre, 2006 | 1 commentaire » -- pensez-y à 2 fois ! une vielle légende indienne raconte qu’un brave trouva un jour un oeuf d’aigle et le déposa dans le nid d’une « poule de prairie ». l’aiglon vit le jour au milieu d’une portée de poussins de prairie et grandit avec eux. toute sa vie l’aigle fit ce qu’une poule de prairie fait normalement. il chercha dans la terre des insectes et de la nourriture. il caqueta de la même façon qu’une poule de prairie. et lorsqu’il volait, c’était dans un nuage de plumes et sur quelques mètres à peine. après tout, c’est ainsi que les poules de prairie sont censées voler. les années passèrent. et l’aigle devint très vieux. un jour, il vit un oiseau magnifique planer dans un ciel sans nuage. s’élevant avec grâce, il profitait des courants ascendants, faisant à peine bouger ses magnifiques ailes dorées. « quel oiseau splendide ! » dit notre aigle à ses voisins. « qu’est-ce que c’est ? » « c’est un aigle, le roi des oiseaux, » caqueta sa voisine. « mais il ne sert à rien d’y penser à deux fois. tu ne sera jamais un aigle. » ainsi l’aigle n’y pensa jamais à deux fois. il mourut en pensant qu’il était une poule de prairie. vous est-il arrivé de penser que vous étiez une poule de prairie ? pensez-y à deux fois… n’oubliez jamais que chaque personne vous vois différement car la beauté est intérieur que seul les yeux de l’âme puisse refléter publié dans : leçon de vie | le 29 septembre, 2006 | 1 commentaire » -- le bol de bois un vieil homme affaibli alla vivre chez son fils, sa bru, et son petit fils de quatre ans. les mains du vieil homme tremblaient, sa vision était embrouillée et son pas chancelant. ils mangeaient tous ensemble à la même table. mais, pour le vieux grand-père, manger était difficile à cause de ses mains tremblantes et de de sa vue brouillée. les pois glissaient de sa cuillère et roulaient sur le plancher. quand il attrapait son verre de lait, il en renversait sur la nappe. le fils et la bru devinrent de plus en plus impatients face à ces dégâts. « nous devons faire quelque chose avec grand-père, » dit le fils. « j’en ai assez du lait renversé, du bruit en mangeant et de la nourriture sur le plancher. » alors le mari avec sa femme placèrent une petite table dans un coin. là, le grand-père mangeait seul alors que le reste de la famille dînait ensemble. comme le grand-père avait brisé une ou deux pièces de vaisselle, sa nourriture lui était servie dans un bol de bois. quand un membre de la famille jetait un coup d’oeil dans la direction du grand-père assis seul dans son coin, il avait quelques fois des larmes au coin des yeux. malgré cela, les seules paroles que le couple lui adressait étaient de durs reproches. l’enfant de quatre ans observait tout cela en silence. un soir, avant le souper, le père remarqua que son fils, assis sur le plancher, jouait avec des morceaux de bois. il lui demanda gentiment: « qu’est-ce que tu fabriques? » tout aussi gentiment, l’enfant répondit: « oh, je fais un petit bol pour toi et maman pour que vous y mangiez votre nourriture quand je serai grand. » l’enfant de quatre ans sourit et se remit à l’ouvrage. ces paroles laissèr